Vendredi 20 janvier
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Pour cette dernière matinée de plage, j’invitais ma femme à la passer dans les dunes. De plus
la mer étant agitée, avait recouvert la moitié de la plage de flaques d’eau. Une fois installé dans notre petit coin habituel, je commençais à caresser le cul de Maéva. Je le fais
parce que j’aime ça. Remonter ma main le long de sa cuisse, puis venir du plat de la main caresser la fesse, en laissant le bout des doigts se glisser dans sa raie, sentir son
œillet si doux et ainsi de suite faire des allées et venu sur ce cul que j’aime tant. La deuxième chose que ces caresses sont sensées procurer, outre le plaisir, c’est d’attirer
l’attention d’un éventuel voyeur. Et ce matin encore, en voilà un qui s’approche et vient se poster juste en face de nous. Sans doute juge t-il qu’il est trop loin s’il se met sur
la butte qui sert d’observatoire, non monsieur se poste sur la déclinaison qui relit l’observatoire de notre couche, le rapprochant à environ quatre mètre voir moins. Là il se poste
assis, les jambes bien écarter, exhibant sa bite déjà bien raide. Sans doute nous avait-il déjà observés avant de venir s’installer. Moi je poursuis mes caresses. Mais maintenant je
ne me contente pas simplement de laisser trainer mes doigts dans la raie du cul de Maéva, je la lui écarte. Je rends visible pour notre voyeur son petit trou. Avec ses jambes bien
écartées Maéva offre une vue de son sexe à notre voyeur, abricot tout lisse comme j’aime. Moi je ne peux rater si belle occasion pour lui tripoter ses petites lèvres et les lui
écarter pour glisser un doigt à l’intérieur de son trou à bites. Notre voyeur est aussi exhibitionniste que nous, jambes bien écartées, il nous montre sa bite bien raide. Nous
étions ma femme et moi en conversation sans plus faire attention à notre voyeur, mais moi toujours ma main baladeuse sur le cul de ma femme, Quand il m’a semblé entendre des
invectives venant de notre voyeur. Ce n’était pas tellement audible, mais cela ressemblait à ceci : Regarde comme je bande, quel beau cul, écarte les cuisses, je te boufferai bien
le cul et la chatte…etc. Bref ma femme a entendu ce genre de parole et voyant son hostilité, j’ai fait signe à notre voyeur de se taire, ce qu’il a fait. Puis au bout d’un moment il
est parti.
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Le temps passant et ne voyant rien venir j’ai proposé à Maéva de descendre sur la plage.
Au moment où nous allions nous lever, je vois arriver un habitué de nos exhibes. Trop tard, je ne peux faire marche arrière et dire que nous restons là. L’homme commence à
s’installer, je retarde le moment de se lever. Il ne s’écoulera pas deux minutes entre le moment où monsieur sera en position de mater et l’instant où nous nous levons. Nous
descendons sur la plage posons nos serviettes non loin d’un homme seul qui se trouve à notre droite. Il y a peu de monde ce matin, la cause sans doute la mer fortement agitée. Que
vois-je arrivé et vient poser sa serviette au pied de ma Maéva à quelques mètre de nous, notre voyeur qui nous a rejoint sur la plage. Quand je commence à caresser ma femme,
celle-ci qui n’a pas vu l’homme arriver, comprend à mes caresses sur son cul qu’il doit y avoir quelqu’un pour mater. Elle jette un coup d’œil. Voyant notre homme, elle me fait
comprendre qu’elle souhaiterait être tranquille. Elle prend sa serviette et de ma gauche passe à ma droite. L’homme qui était là avant nous remarque le manège, d’autant plus
que notre voyeur habituel ramasse sa serviette pour se replacer en face de ma femme afin de lui mater le cul. Ma femme s’en aperçoit et veux rechanger. Je l’en dissuade en lui
faisant comprendre que ce petit jeu peu durer longtemps. Après un moment d’attente, je commence à caresser les fesses de ma femme qui se trouve au milieu d’un triangle vertueux, Moi
à sa gauche, notre voyeur à ses pieds, et l’homme de la plage à sa droite. Elle grogne un peu, j’essaye de la calmer ce que j’arrive à faire. Finalement elle me laissera la
caresser devant les yeux du voyeur qui ne perdra rien de ce que je lui offre, et de notre homme de droite, dont les petit sourires voulaient dire bien des choses et notamment qu’il
avait vu notre petit jeu.
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Par Maéva et voyeur34
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Maeva , toujours aussi excitante venir embrasser tes lévres brulantes , passer et repasser ma langue mutine sur ton sillon obscure , titller et enfoncer ma langue dans ce magnifique oeillet entre ouvert ... jene m'en lasse pas Bisous coquins Jean
quand je lui lècherai la fente et que ma langue fouillera son petit trou, je penserai à vous en m'imaginant que c'est votre langue qui la fouille.