Mercredi 9 septembre
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Encore tout excité par les exhibes de la veille, j’avais décidé
de remettre ça ce matin, en me disant que peut-être notre voyeur serait encore là. Hélas ce ne fut pas le cas. Nous étions là dans les dunes et personne à l’horizon. Tant pis,
pour ne pas se laisser abattre quoi de mieux que de caresser Maéva. Sa peau est si douce, sa raie si accueillante, son sexe si soyeux. J’ai fait comme si il y avait un voyeur,
jusqu’à ce que j’aperçoive un homme qui voyant mes mains se balader entre les cuisses de ma femme, est venu se poster à six mettre de nous, sans se cacher, face à la mer et
visible du bord de la plage. De temps en temps, je le voyais jeter des regards en coin. Moi j’ai continué comme si de rien n’était. La main dans la raie du cul de Maéva, doigtant
son petit trou, effleurant son sexe de mes doigts. De temps en temps je voyais notre voyeur se tripoter la queue. Ce manège à durer une petite heure, puis il s’est levé pour
enfiler son short, Il avait la queue bien raide.
Le lendemain matin nous reprîmes le chemin de la plage. J’avais
pour l’occasion demandé à Maéva de porter son Rosebud afin de faire des photos. Après nous être installé dans les dunes, je commençais par faire les photos de son petit cul paré
de son bijou anal. Puis vint la série sur son abricot dont elle écartait les lèvres pour montrer le rosé de la chair. Elle resta paré de son bijou à ma demande, mon intension
première étant d’attendre l’arrivé d’un voyeur pour montrer le cul de Maéva ainsi orné. Mais pas de voyeur à l’horizon. Rien de rien. Il faisait chaud et ma femme avait envie de
se mettre à l’eau. Je me résignais et commençais à lui enlever le bijou. Elle me tendit son cul, je puis en main le brillant et commençais à tirer dessus pour le dégager de son
petit trou. Il y a d’abord une résistance puis, sa rondelle s’élargie faisant apparaître l’olive métallique en forme d’ogive. Le bijou en main je relevais la tête. Là je vis le
voyeur de la veille prendre place au même endroit que la veille. C’était impossible qu’il ne m’ait pas vu extraire le Rosebud. Trente seconde après je disais à ma femme que nous
avions eu chaud et qu’un voyeur venait d’arriver. Comme nous devions descendre sur le bord de la plage je demander à ma femme de rester une demi heure. Comme la veille j’entrepris
Maéva. Son cul, sa chatte fut caressés, fouillés, écartés, pendant ce temps notre voyeur se caressait la queue. Quand ma femme et moi nous nous levâmes pour partir, l’homme fit de
même, se dirigea vers moi et me demanda si une partie à trois nous intéressait. Avant que je lui dise non, ma femme était déjà partie
vers le rivage.
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Par Maéva et voyeur34
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