Samedi 5 septembre
6
05
/09
/Sep
17:16
|
Nous étions sur la plage depuis une demi-heure, lorsque comme
prévu vers les quinze heures, notre voyeur est arrivé et s’est installé à trois mètres de nous, perpendiculaire à notre position, le visage à hauteur du cul de Maéva. Autour de
nous des couples étaient présent et son installation n’est pas passée inaperçu. Pensez donc un homme qui se colle la tête dans le cul de votre femme, car plus près il ne pouvait
être, sinon à lui monter dessus, cela se remarque. Les regards de certains de ces couples laissaient à penser que nos faits et gestes seraient épiés. Notre voyeur en plus de poser
son regard insistant sur le cul de ma femme m’interpelait du regard, un bout de roseau à la main, me montrant qu’il le plantait dans le sable et auquel il joignait un bout de
papier plié. Tout autour de nous, je voyais bien les couples regardant et attendant ce que j’allais faire. Je n’ai donc pas bougé et décidé de m’occuper de ma femme. Bien que
Maéva se plaignit de la présence trop proche du voyeur, je lui ai demandé d’écarter un peu plus les cuisses, ce qu’elle a fait après avoir insisté. Je crois que je lui ai aussi
passé de l’huile pour la protéger, ce qui m’a permis de bien lui écarter la raie afin que notre voyeur puisse bien voir sa rondelle. Nous avons été à l’eau nous baigner. Quand
nous sommes remontés, celui-ci était parti. Ma femme a remarqué alors le bout de roseau, qui par rapport à sa dernière position connue, s’était étrangement rapproché de notre
serviette. Cela l’a intrigué et elle s’est penchée pour le ramasser. Comme autour de nous on regardait, je lui ai dit que je ne savais pas. Finalement elle ne l’a pas ramassé et
nous nous sommes allongés sur nos serviettes. Au moment de partir de la plage, je me suis demandé comment j’allais faire pour récupérer le bout de papier sans que personne ne
remarque la chose. C’est en rangeant nos rabanes que j’ai trouvé la solution. J’ai réussi avec mes doigts de pieds en posant ma jambe à l’endroit du roseau, à agripper le papier,
le ramenant ainsi près de notre parasol. Je n’avais plus qu’à me pencher pour me saisir de la chose. Ce que je fis après un regard circulaire autour de nous. Ainsi je pris
connaissant du message, une adresse mail. J’allais donc pouvoir communiquer avec notre voyeur, une fois rentré à la maison.
|
|
|
|
|
|
Par Maéva et voyeur34
-
1