Il faut dire que cela avait mal commencé. J’avais contacté le
voyeur sympathique de l'année dernière qui m’avait laissé son numéro de portable pour nos exhibent dans les dunes et malheureusement celui-ci était indisponible pour le moment.
Petite déception, mais enfin les années précédentes les voyeurs ne manquaient pas.
C’était notre quatrième matinée dans les dunes et toujours pas de voyeur. Cela faisait plus d’une heure que nous étions là, aussi
quand j’ai vu apparaître un homme sur le haut de la dune, je me suis dit enfin en voilà un. Mais caresses sur les cuisses et le ventre de Maéva n’ont rien changé, l’homme tout en
marchant a jeté un regard vers nous et sans s’arrêter a continué son chemin. C’est un plaisir charnel un besoin que de caresser ma femme. J’aime le contact de sa peau sur ma peau,
sa douceur et sa couleur miel. Mes yeux se délectent de ses formes. Pour tout cela, j’ai continué mes caresses. Cela faisait bien 5 minutes que j’avais vue passé notre homme quand
je le vis revenir jusqu’à notre hauteur tout en nous regardant. Mes mains étaient toujours affairées à glisser du ventre de Maéva sur un cuisse, puis partir à l’intérieur de
celle-ci descendant jusqu’au genoux, puis d’un mouvement inverse, remontait vers son entrecuisse et laisser traîner mes doigts sur sa vulve. Je vis l’homme hésiter, revenir sur
lui-même, faire quelque pas tout en regardant vers nous, puis poser son sac à dos. Ouf ! Enfin un voyeur. Il s’est posté derrière un léger relief du terrain, au sommet duquel
il y avait deux touffes de végétation séparé par un vide lui permettant d’être dissimulé et à la fois pourvoir nous mater dès qu’il levait la tête. Sa position était idéale, en
droite ligne avec la fourche que formaient les cuisses écartées de ma petite salope, et la distance entre lui et nous n’était que de 3 mètres au plus. Dès lors mes doigts ont bien
fouillé la fente de ma femme, écartant les petites lèvres d’une main, les doigts de l’autre glissant à l’intérieur de son puit d’amour. Ou bien, ma main plaquée sur son abricot,
je massais celui-ci par un mouvement de haut en bas de la main, tout en appliquant une pression de la paume de la main sur tout le con, en laissant traîner l’index sur sa fente,
titillant ainsi ses petites lèvres et son clito. Puis au bout d’un moment, j’ai demandé à Maéva de se mettre sur le ventre. Jambes écartées, son cul était offert au regard du
voyeur. Crème pour bronzer oblige, mais aussi pour caresser son cul, j’ai déjà enduit son dos, puis les jambes et enfin son cul. Passage et repassage sur ses fesses écartant
celles-ci, ouvrant de la sorte sa raie, j’offrais l’œillet et le petit trou de ma femme au regard du voyeur. D’une main j’ai écarté ses fesses à l’aide des doigts, juste à
l’endroit de son petit trou, en laissant le passage libre d’un côté dans sa raie. L’index de mon autre main a plongé dans celle-ci, puis a remonté jusqu’à son œillet. Une légère
pression sur son petit trou et celui-ci s’est ouvert, enfilant la première phalange de mon doigt dans son cul. Quand notre voyeur est parti, du pouce il m’a fait comprendre que
cela avait était super.
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