Samedi 6 septembre
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Après nos premières journées de plage, j’ai remarqué l’absence de couples se faisant bronzer dans les
dunes, mais aussi de voyeurs qui habituellement les parcourent, à l’affût d’une exhibe. Les deux premières matinées passées dans les dunes se révélèrent tout aussi dépourvues de
voyeurs. Aussi quand une après midi je vis se poster devant nous à moins de 4 mètres « je devrais dire devant Maéva », un homme qui n’était autre qu’un des voyeurs de
notre première exhibe de mai. A cet instant Maéva étaient allongée sur le dos jambes écartées. L’homme était si proche, que j’avais peur que ma femme soit dérangée par cette
proximité. De ce fait j’ai limité mes attouchements de sa fente et finalement je me suis allongé à côté de Maéva. Voyant que j’avais cessé de tripoter Maéva, notre voyeur a levé
le camp. Deux jours plus tard qui vois-je arriver; notre voyeur qui comme la dernière fois se positionne à moins de 4 mètres. Maéva est sur le ventre et je pense qu’elle ne l’a
pas vue arriver. Cette fois j’ose glisser ma main à l’intérieur de ses cuisses tout en remontant celle-ci vers son sexe, mes doigts effleurent sa fente. L’homme me fait signe avec
le majeur et l’index en les écartant comme s’il s’agissait de deux jambes, qu’il aimerait bien que ma femme écarte encore plus les jambes. Discrètement je glisse au creux de
l’oreille de Maéva d’écarter encore plus ses cuisses pour que je puisse bien voir et qu’en plus il y a un voyeur. Sans même regarder elle me dit non, qu’il est trop près. En
insistant un peu, elle fini par bien écarter ses cuisses. Je recommence mon manège, mes doigts glissent sur son abricot tout lisse remontent dans sa raie, puis glisse vers
l’extérieur, écartant celle-ci. On perçoit au fond de son sillon la couleur brune de son oeillet et les quelques poils bruns qui l’entourent, derniers vestiges de sa pilosité.
Notre voyeur est positionné sur le côté, sa main droite enserre ses couilles pour mieux me monter sa queue tendue. Il bande le salaud et les petites contractions de son bas ventre
font bouger sa bite au gland bien gonflé. Pendant tout ce temps j’ai remarqué plus loin qu’un autre homme mi-assis mi-allongé les jambes relevées et écartées, le regard figé,
regarde dans notre direction. Tout à coup je vois notre voyeur le plus proche préparer ses affaires pour partir. Je lui fais signe de rester et que Maéva va se retourner pour
montrer son con. Malgré les demandes répétées, ma femme a refusé, le voyeur étant trop proche. Bref au bout d’un moment notre voyeur est parti voyant que rien ne se passait. Une
fois partie Maéva s’est mise sur le dos, les jambes écartées pour se faire bronzer la fente. Moi j’ai profité de l’aubaine pour étaler de la crème entre ses cuisses et sur sa
fente. Mes mains ont fait beaucoup de passages sur ses lèvres. Des fesses jusqu’à son pubis, mes doigts n’ont cessé de voyager avec à chaque passage un doigt qui appui sur sa
fente. La bite du deuxième voyeur qui n’avait rien perdu du massage d’abricot, est passée de la hampe qui pend sur les couilles, à une vision de deux couilles et un gland cachant
toute la hampe. Sa queue était passée d’une position pendante à une horizontale parfaite. Le salaud bandait. Ma femme s’est assise, mais cette situation ne me convenait pas, aussi
je lui demandais de s’allonger à nouveau, ce qu’elle fit. L’homme avait perdu son érection. Je me mis donc à recommencer mon petit manège. En plus je demandais à Maéva d’écarter
les lèvres de son sexe, en faisant semblant de s’essuyer l’entrecuisse. Elle le fit plusieurs fois à ma demande en les écartant bien. Notre voyeur bandait à nouveau et il n’a
cessé de nous regarder jusqu’à ce que l’on parte. Quand j’ai dit à ma femme qu’il y avait un autre voyeur qui regardait, elle m’a dit « je sais, mais celui là était plus
loin ». Quelle petite salope j’ai. Une salope d’amour.
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Par Maéva et voyeur34
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