Préambule : hélas pas de photo de cette aventure. Suite à une défaillance de la
carte mémoire, tout ce que j’ai pris en Guadeloupe n’a pu être récupéré. J'ai mis des photos que j'avais pour que vous puissiez imaginer les scènes.
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De retour de voyage de la Guadeloupe, je voudrais vous conter ce qui nous est arrivé. Un
hôtel de rêve, du personnel au petit soin pour vous, des équipements de haut niveau, une température idéale, une mer allant du bleu profond jusqu’à la transparence et des plages
qui vous incitent à flemmarder sous les palmiers. Le rêve et rien que du rêve. Je vous passerai les détails pour entrer dans le vif du sujet. Nous étions le troisième jour, et
j’étais descendu au bar sans ma femme qui terminé sa toilette. Nous avions sympathisé avec un barman, et c’était lui qui était là ce matin. Profitant qu’il n’y ait que moi au bar
en cette heure matinale, je demandais à celui-ci s’il pouvait indiquer les plages naturistes du coin en lui précisant que je n’étais pas motorisé. Celui-ci me renseigna en me
précisant que ce n’était pas tout près, mais que si nous pouvions attendre cet après-midi, celui-ci avait son après-midi et pouvait nous servir de guide et nous y conduire. Je le
remerciais et nous nous donnâmes rendez-vous pour 14h00. Ne voyant pas venir Maéva, je retournais à notre chambre et trouvais ma femme finissant d’enfiler sa toilette. Je lui
racontais que j’avais discuté avec le barman et que je lui avais demandé où il y avait des plages naturistes, et que celui-ci m’avait bien renseigné, et comme ce n’était pas tout
près, qu’il se proposait de nous y amener en début d’après-midi. La réaction de ma femme fut rapide.
- Le retour on fait comment ?
Je lui répliquais que j’avais cru comprendre qu’il nous ramènerait. J’ai lu dans les yeux de
ma femme la question qu’elle allait me poser, aussi j’ai tout de suite enchaîné, je pense qui restera l’après-midi avec nous.
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Il était un peu moins de 14H00, quand nous sommes arrivés à l’endroit du rendez-vous. Là nous
avons commencé à attendre. Quatorze heure quinze, on s’est regardé ma femme et moi, et sans doute avons eu la même idée, que sans doute on nous avait posé un lapin. On s’est dit que
si à 14h30 il n’y avait personne, on irait à la plage la plus proche. C’est au moment où nous allions partir, que j’ai vu sa voiture arriver. Après s’être garé, il est descendu de
la voiture pour venir s’excuser de son retard, puis il nous a invités à prendre place à l’arrière, avant de remonter dans le véhicule et de partir pour son coin de paradis, comme il
disait. Après une petite demi-heure de route, il a pris un chemin qui menait vers la mer. Après s’être garé, nous avons continué à pied. Le chemin a été long et pas facile, plutôt
rude, mais la surprise fut un émerveillement. Une plage de sable fin au fond d’une petite anse rocheuse couverte de végétation luxuriante. Il n’y avait personne sur la plage
et pour cause, ce n’est pas un endroit connu des touristes car trop petite pour accueillir cette population. Les locaux la connaissent, mais en semaine peu de gens la fréquente.
Nous nous sommes installés et devant notre retenue, notre guide nous a rassurés sur le caractère naturiste de la plage, qu’on ne risquait rien. Et pour nous enlever toute crainte,
après avoir enlevé sa chemise et posé son pantalon, il a fait tomber son boxer. Là j’ai eu un autre moment d’hésitation, j’ai regardé ma femme, elle m’a regardé les yeux pleins d’un
sentiment qui frôle l’effroi mais qui est plus de la surprise. Il y a le mythe et la réalité. Pour ce qui de l’instant présent le mythe rejoignait la réalité. Notre guide avait un
sexe de taille imposante, en longueur au repos il faisait entre 20 et 25 cm, estimation que je pense assez précise pour être de par mon métier de concepteur, habitué aux dimensions
et volume des choses. En diamètre presque aussi gros si ce n’est pareil que le poignée de Maéva. Une fois la surprise passée, nous avons profité du soleil un petit moment avant
après nous être protégés. La présence de notre homme a fait que je n’ai pas été aussi loin que j’en ai l’habitude. Je me suis contenté de lui passer du lait dans le dos, sur les
jambes et sur les fesses, mais en restant très sage. Puis après dix minutes de bronzette, nous sommes allés à l’eau. Notre homme est venu dans un premier temps nager avec
nous, puis est allé chercher un ballon de petite taille. On a commencé en s’envoyant la balle et celui qui ratait la réception devait se mettre entre les deux autres et essayer de
l’attraper. Très vite ce jeu a pris des allures de provocation. Quand Maéva était tournée vers notre homme, car c’était elle qui était au milieu, elle pouvait voir la bite de
celui-ci (je devrais dire la matraque) pendouiller entre ses jambes. Cette vision était d’une provocation insoutenable. Aussi j’ai fait en sorte que mes lancés soit imprécis pour
qu’aussi bien Maéva et notre guide, se précipitent sur la balle pour la récupérer.
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Et fatalement ce qui devait arriver a eu lieu. Je l’apprendrais plus tard, dans la
précipitation de l’un et de l’autre, ma femme arrivant de justesse pour prendre la balle, notre complice dans son élan s’est retrouvé contre ma femme. Le sexe contre la fesse de
Maéva. Elle m’avouera que le contact de son gros membre sur sa fesse, a déclenché chez elle une réaction de trouble et qu’elle a senti une chaleur lui envahir le bas ventre. Notre
jeu n’a pas continué longtemps, Maéva voulant retourner sur la plage. Chose faite. Allongée sur le ventre, j’ai attendu que son corps soit sec pour lui passer une protection
solaire. Arrivé au trois quart du dos j’ai posé ma main sur le sable en faisant croire que j’avais perdu l’équilibre. Je suis parti à l’eau pour me rincer et quand je me suis
retourné, notre homme avait repris ma tache. En arrivant notre guide m’a laissé reprendre (il ne faisait que lui masser le dos). J’ai donc repris en commençant par les jambes de
Maéva. Celle-ci a gratifié notre homme, en lui disant que son massage était très agréable et qu’il pouvait continuer si cela ne le dérangeait pas. Pendant que je passais du
lait sur les jambes de ma femme, lui massait son dos. Puis je suis arrivé aux cuisses et là je savais que j’allais m’occuper de ses fesses. J’ai commencé par déposer du lait solaire
sur les deux fesses puis j’ai regardé notre homme. Je lui ai fait signe qu’il pouvait m’aider à lui passer le lait. Il m’a fait signe d’un mouvement de tête que je n’avais pas
l’accord de madame. J’ai répondu par des mimiques que l’on verrait bien et qu’il pouvait. C’est d’abord ma main qui la première s’est posée sur les fesses de ma femme. J’ai
commencé par lui étalé le lait. Puis j’ai vu la main de notre guide prendre contact avec le cul de Maéva. Un léger sursaut quand sa main s’est posée sur sa fesse, puis plus
rien. Elle a laissé faire, nos mains se sont enhardies, d’abord la mienne qui à glissée dans sa raie, écartant celle-ci pour dévoiler sa rondelle, aidé par la main de notre
complice. Puis la mienne a glissé vers sa chatte. J’ai vu sa croupe se soulever, ses jambes s’écarter et la chair de poule sur ses fesses. J’ai fait signe à notre guide qu’il
pouvait lui aussi venir entre ses cuisses. Nos deux mains sur son sexe et sur son cul ont fini par faire mouiller Maéva. Sa chatte était pleine de sa liqueur. Nos doigts étaient
pleins de sa mouille onctueuse. Elle mouillait comme une vraie salope.
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On la fait se retourner sur le dos. Mes mains sur son sexe et ses seins, celle de notre black
sur et dans la chatte de ma salope, nous avons continué à la caresser. J’ai vu ma femme se saisir de l’énorme queue déjà bien raide et dont les dimensions étaient
impressionnantes. J’ai entendu ces mots sortis de ma bouche « suce-le ».
J’ai vue Maéva attirer à elle cette queue, l’homme s’est déplacé, les deux mains de ma
salope se sont posées sur cette énorme bite, sa bouche s’est ouverte, et j’ai vu le gland bien gonflé disparaître au fond de sa gorge. Maéva la bouche déformée par l’énorme engin
s’est mise à le sucer, à le pomper, pendant que je lui caressais le sexe. Au bout d’un moment n’en pouvant plus, elle a lâché le morceau et s’est mise à le branler. Je me suis
adressé à notre guide pour lui dire « gicle lui sur les seins ». Il a pris sa queue pour se branler au dessus de la poitrine de ma salope. Pendant ce temps elle lui
caressait les couilles. Trop absorbé par ce que je voyais, j’avais cessé de caresser l’abricot de ma femme et l’excitation que me procurait la vision de ma femme et de son amant
d’un jour m’avaient donné l’envie de me caresser, ce que je fis. Puis j’ai vue notre complice tendre sa queue vers les seins de ma salope et accélérer la cadence de sa main, puis
brusquement il s’est arrêté. J’ai vue alors jaillir un premier jet de sperme qui à fini sur son sein gauche, puis un deuxième, un troisième, un quatrième et une dernière coulée de
foutre et une perle de sperme au bout de sa queue il a fait coulé les dernières gouttes qui restaient dans le tuyau. Pendant son éjaculation il avait bougé son sexe pour se répandre
sur toute sa poitrine, et cela était réussi. Ses seins étaient couverts de foutre. Son éjaculation était tout aussi énorme que son membre l’était. Je venais de vivre ce que j’avais
longtemps désiré, voir du sperme d’un autre homme sur la corps de ma femme.
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J’ai regardé Maéva le sourire aux lèvres, je lui ai dit je t’aime et nos bouches se
sont rejointes pour un baiser comme au premier jour, un baiser d’amoureux, avec toute la fièvre et la ferveur qui les accompagnent. Quand je l’ai regardé à nouveau, avec tout ce
sperme sur les seins, elle m’a dit « caresse-moi les seins ». Elle n’avait pas oublié ce que je lui avais dit. Elle connaissait mon fantasme et ne l’avait pas oublié.
Ces simples paroles « caresse-moi les seins », ont suffi pour déclencher chez moi une éjaculation. Sentant le plaisir me submerger, j’ai placé mon sexe au dessus de son
pubis que j’ai arrosé de mon foutre. C’est après avoir éjaculé sur le mont de vénus de ma belle que j’ai commencé à caresser et étaler le jus de notre complice sur ses seins, j’ai
alors fait savoir que Maéva adorait se faire masturber la chatte avec du foutre, ce que notre homme a tout de suite fait en plongeant ses doigts dans le sperme que j’avais déposé
sur son bas ventre, en lui étalant la totalité sur son sexe, puis il a commencé à lui caresser les petites lèvres du bout des doigts, les écartant pour glisser ses doigts à
l’intérieur de sa chatte toute juteuse. Cette salope a commencé à se tortiller, et quand il a insisté sur son clitos, j’ai vu que ma femme n’allait pas tarder à jouir. Moi
pendant ce temps je caressais les seins de ma belle de ce jus qui était devenu une crème onctueuse et collante de couleur blanchâtre. Maéva sentait le foutre, Maéva petite salope
toute collante s’est mise à jouir avec des gloussements qui en disaient long sur ses extases. Une fois ses esprits retrouvés, elle a pris la queue du black et s’est mis à le
sucer. Au bout d’un moment l’homme avait repris sa raideur et peu de temps après un filet de foutre est sorti de méat. Ma femme m’a scotché, j’ai vu sa langue laper le gland avant
de l’enfourner une dernière fois. J’avais la trique et cette petite salope est venue me prendre la bouche en faisant bien rouler sa langue autour de la mienne. Sa bouche avait le
gout du sperme. Notre guide nous a accompagné jusqu’à l’hôtel et avant de le quitter je lui ai discrètement demandé si l’on pouvait remettre çà un autre jour et s’il connaissait
quelqu’un de sérieux qui pourrait nous rejoindre une fois que ma femme serait assez chaude. Dans l’affirmative il m’a proposé un cousin qui accepterait volontiers de venir
participer à nos jeux. A la question « et physiquement » la réponse a été au dessus de mes attente, puisque d’après lui, il était presque aussi bien fourni que lui coté
sexe.
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Pour connaître la suite de l'histoire, laissez moi un commentaire avec votre adresse mail, je vous
l'enverrez personnellement avec Photo de Maéva.
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