Maeva, petite Salope s'exhibe

Le lendemain de l’exhibe devant les trois voyeurs, nous avons remis cela à cause du vent qui soufflait trop fort pour être sur la plage. C’est donc dans les dunes que nous sommes allées. Comme toujours, j’ai commencé à caresser les fesses de ma femme.  J’aime les courbes de son cul et apparemment je ne suis pas le seul, car j’ai vu arriver un des voyeurs de la veille, celui qui était le plus mal placé. Aujourd’hui il ne verrait pas le petit trou de Maéva paré de son bijou, mais il aurait l’avantage de voir sa rondelle. Pour ce faire j’ai glissé ma main dans sa raie. J’aime sentir mes doigts blottis entre ses fesses et percevoir la chaleur de son cul. Mais j’aime aussi montrer son trou du cul à ceux qui viennent le lui mater. Alors j’écarte avec mes mains ses fesses pour mettre au jour son œillet tout brun. Ce jour là, après avoir bien écarté son cul, j’ai mouillais deux doigts avec ma salive et je les lui ai mis. Notre voyeur se tripotait la queue. Déjà bien raide avant que mes doigts ne fouillent le cul de Maéva, la vision du cul de ma femme se faisant doigter, à provoqué chez lui une accélération du rythme de sa main sur sa bite, puis s’arrêtant pour montrer comment son gland était gonflé. Bigre le salaud avait un sacré gros bout que j’aurais aimé voir sucé par ma salope de femme. Bref de voir ma petite pute lui vider les couilles. En attendant que cella arrive, je l’ai fait mettre sur le dos pour lui écarter la fente et la masturber jusqu’à ce qu’elle jouisse devant notre voyeur. Il n’a pas joui comme j’aurai pensé, mais est parti avec une grosse bosse dans son slip. Dommage, j’aime voir le pouvoir sexuel d’une femme sur l’homme dominateur. Voir ce que le cul de ma femme ou son abricot quand elle l’ouvre, fait gicler la bite du mec. Et plus l’éjaculation est importante plus je me dit qu’il aurait bien aimé pouvoir tripoter ma salope.