Ce matin je demandais à Maéva de porter son rosebud pour aller à la plage. Sachant que
sur le parking, elle troquerait sa mini jupe pour sa robe au crochet qui nous laisse bien voir tous ses atouts. J’espérais bien entrevoir ainsi, son bijou dans sa raie. Finalement
je ne vis rien de cela. Comme d’habitude, nous nous installâmes dans notre petit coin de dunes, là ou plusieurs voyeurs peuvent nous observer de près.
Pourtant ce matin là, il fallut attendre longtemps avant d’en voir arriver un. Une
connaissance des années précédente et qui est déjà venu cette année pour mater ma femme. Une fois installé, celui-ci à commencé à se tripoter la queue pendant que ma main glissait
entre les cuisses de ma femme. Une fois le contact établi entre mes doigts et les lèvres chaudes de son sexe, j’entrepris une savante masturbation de celles-ci, alternant des
caresses superficielles proche du frôlement de peau, à de plus appuyées en écartant les petites lèvres pour y glisser u doigt à l’intérieur. L’homme, les yeux fixés sur le sexe de
ma femme, s’astiquait la bite. Au bout d’un moment de ce traitement, j’ai demandé à Maéva de se retourner afin d’offrir à notre voyeur, la vue de son cul et de sa rondelle habillé
de son bijou. Pour cela je lui demandais avant toute chose de faire semblant d’arranger sa serviette en se mettant à genoux, jambes écartées afin de bloquer un bord de la
serviette. Ainsi, jambes bien écartées, elle devait se mettre à quatre patte en cambrant ses reins, histoire de bien tendre son cul vers notre homme et de lui montrer son bijou,
pendant que de ses mains elle lisserait sa couche. Quel spectacle pour moi et pour notre voyeur. Ah, il se l’est branlé sa queue ce salaud, il en bavait de voir le cul tendu de ma
femme et de son bijou planté dans ses entrailles. Après avoir arrangée sa serviette, Maéva s’est allongée le cul tendu vers notre voyeur. Moi je le lui caressais, écartant ses
fesses pour qu’il puisse admirer le bijou planté dans sa raie. Je lui ai fais signe qu’il pouvait se branler afin qu’il comprenne que cela ne nous dérangeait pas. Il ne sait pas
fait attendre, et si au début ses caresses étaient contenues, ma demande l’avait débridé. Ce qui devait arriver est arrivé notre voyeur a éjaculé. Il se branlait pendant que son
jus coulait par saccade sur le sable. Il a vidé ses couilles pendant un long moment, à croire que cela ne finirait pas. Le salaud avait les couilles bien pleines. Après s’être
essuyé le bout de la queue avec la main, il s’est levé et en partant nous a fait un signe de la main pour nous remercier. Comme il faisait chaud, j’ai demandé à Maéva si elle
voulait aller au bord de l’eau. Elle me fit remarquer qu’elle portait son rosebul. Je l’ai rassuré en lui disant que l’on ne voyait rien tant que je ne lui écartais pas les
fesses. C’est donc avec son bijou dans le cul, que ma petite salope est allée au bord de l’eau au milieu des gens qui se faisait bronzer. Allongé sur le ventre, son cul tourné
vers le rivage c’est ainsi que ma belle a offert la raie de son cul au passants qui se promènent le long de la plage. Bien sur que ceux qui ont regardé son cul on aperçu une chose
briller au fond de sa raie, il fallait être aveugle pour ne pas le voir. J’ai même quelques fois écarté légèrement ses fesses pour que le mâle qui passait puisse mieux voir ce que
Maéva avait dans son cul. C’était la première fois qu’elle allait au bord de l’eau avec son bijou, et je crois que l’année prochaine elle le portera et pas qu’une fois. Alors si
vous voulez le voir, vous savez ce qu’il vous reste à faire.
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