Mardi 7 octobre
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19:08
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Cette année nos exhibes furent un peu comme le temps, pas franchement débridées. Manque de
voyeur et de motivation.
Première incursion le matin dans les dunes, nous ne verrons aucun voyeur, seule
consolation, Maéva se prêtera et se laissera aller à mes caresses jusqu’à jouir. Il faudra attendre une après-midi de vent qui nous obligera à prendre la direction des dunes, pour
enfin voir arriver un voyeur. Il faut dire que je les attire, et pour cela ma technique, caresser les fesses de ma Divine petite salope. Il faut dire que mes mains ne peuvent
résister à l’appel de ses fesses. Elles sont tellement attirante ses fesses, que je n’arrête pas de les caresser, de glisser mes mains dans sa raie, de titiller sa rondelle du bout
des doigts, quand ce n’est pas un doigt dans son petit trou. Bref son cul m’attire et je ne suis pas le seul. Le voici le premier voyeur, il s’installe. Entre nous et lui il y a la
louche, quatre mètres qui nous séparent. Maéva est allongée sur le ventre, jambes écartées, elle écoute de la musique, et ses jambes se balance de droite et de gauche au rythme de
ce qu’elle écoute. Dans ce contexte, notre voyeur ne tarde pas à prendre sa queue dans sa main pour se branler savamment. Je vois tout de suite que l’homme a envi que cela dure le
plus longtemps possible. Il modère l’ardeur de ses caresses sur sa bite au gland déjà bien gonflé de désir. Voyant déjà le plaisir que notre homme prenait, je demandais à ma femme
d’écarter encore un peu plus ses cuisses, car je trouvais qu’elle était un peu trop timide, ce qu’elle fit, dévoilant encore plus sa chatte aux yeux du voyeur. Ainsi écartées et
avec ses mouvements de jambes qu’elle balançait au rythme de la musique, son cul s’animé provocant l'ouverture ponctuelle de sa raie pendant que sa chatte s’offrait impudique au
regard du voyeur qui ne perdait rien de cette vision provocante qui s’offrait à lui. Voyant cela je n’ai rien fait, j’ai laissé Maéva s’exhiber. Sa façon de mouvoir son cul sous les
yeux de notre homme suffisait à elle-même. A plusieurs reprises l'homme ma fait signe que ce qu'il avait sous ses yeux était beau à regarder. Il a fini par craquer. Après un long
moment pendant lequel, il n’a pas cessé de se caresser et de mater le cul de ma petite salope, la main sur sa queue s’est soudainement accéléré, puis figée, offrant à notre
vue un gland gonflé à la peau tendue, avant que ne jaillisse du méat des giclées de foutre. Après avoir vidé ses couilles dans le sable, les dernières gouttes de sperme ont fini sur
ses doigts. Le pousse levé il m’a fait signe que cela lui avait plu. Soit qu’il a trouvé que ma femme avait un beau cul, soit que le déhanché qui agité le cul de Maéva l’avait
fortement excité, mais peut-être que finalement les deux réunis avait participé à son orgasme.
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Par Maéva et voyeur34
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