Jeudi 22 décembre
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Toujours à la recherche d’une éventuelle occasion d’exhiber ma femme, en cette nouvelle
après-midi de plage, rien à signaler jusqu’à l’arrivé d’un homme qui a posé sa serviette non loin de nous, légèrement décalé à la gauche de ma femme. De là où il était il ne
pourrait avoir qu’une vision partielle du sexe de ma femme. Mais bon, faisons avec ce que l’on a. Comme de coutume j’ai d’abord attiré son attention quand j’ai commencé par protéger
ma femme avec le produit solaire sur ses fesses, insistant sans modération sur celles-ci, mes doigts finissant sans cessent dans sa raie, sans oublier de les laissaient trainer sur
son sexe. Bref à ce petit jeu, le monsieur ne nous a plus quitté des yeux, guettant les moindres gestes. Vint le moment où Maéva s’est retournée pour se mettre sur le dos et où j’ai
entrepris de la protéger. C’est avec plaisir que ma main s’est baladée sur sa fente, faisant glisser mes doigts entre ses lèvres, tout cela devant le regard de notre homme. Mais la
surprise est venue de ma femme, quand je l’ai vu faire le papillon. Je vous explique, j’appelle faire le papillon quand une femme allongée sur le dos remonte ses jambes en ayant les
pieds au sol, et que par un mouvement de balancement elle ouvre puis referme son entrecuisse. Le mouvement de ses jambes s’apparente à ce moment là au battement d’ailes des
papillons. J’adore observer une femme faire cela et si en plus elle jette un regard furtif pour voir si on la regarde, c’est la trique qui me prend. Bref voilà donc ma femme qui
fait le papillon, mais pas le papillon normal qui ouvre ses ailes symétriquement, non le papillon qui dit : « tient c’est pour toi que je les ouvre mes ailes ». Oui
l’ouverture des ses cuisses ne fut pas symétrique. Et oui le monsieur n’était pas dans l’axe de son entrecuisse. J’ai vu ma femme faire le papillon, une aile légèrement ouverte et
l’autre carrément parallèle au sol, c'est-à-dire franchement ouverte montrant sa chatte à l’homme. Sa façon de faire était sans ambigüité, cela voulait dire « tient c’est pour
toi que j’ouvre mes cuisses, pour que tu mate mon abricot ». Lorsqu’elle s’est mise sur le ventre, elle lui à montré son cul de la même façon, aussi insolente. Elle s’est mise
sur le coté, remontant ses jambes, une bien relevé à hauteur de son ventre, l’autre un peu moins, une main sur la fesse pour les écarter, elle lui a montré son petit trou. Quand
nous avons été à la maison je lui ai demandé si elle avait remarqué que le mec qui était non loin de nous ne faisait que la mater. Elle m’a répondu que oui et que c’était
délibérément qu’elle lui avait tout montré, en pensant que cela m’exciterait. Et ce qui fut le cas …
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Par Maéva et voyeur34
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