Dimanche 21 décembre
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Ce matin Maéva est descendue à la plage avec son bijou, comme elle le fait maintenant depuis
deux ans, en sachant que nous serons au bord de l’eau avec plein de gens venus se faire bronzer. En général nous sommes dans les premiers à nous installer. Seul quelques hommes en
général sont là avant nous, le plus souvent des pêcheurs et quelques sportifs ou autres. Cette fois n’a pas dérogé à la règle et ce n’est que plus tard que des couples viendront
s’installer juste à côté de nous. Ce n’est plus la présence ou la non présence de gens qui me pousse à caresser ma femme, seulement l’envie de sa peau et de ses courbes. Mais
quand je sais qu’il peut y avoir dans notre entourage un voyeur potentiel, alors je redouble d’attention et d’attouchement sur le petit cul de Maéva, histoire d’attirer le regard
des autres. Ce matin juste derrière Maéva un couple qui regarde vers nous, et je vois l’homme très attentif à ce qui se passe chez nous. Alors j’ai lancé la machine, caresse sur
le cul de ma femme. Elle, jambes bien écartées, moi une main sur ses fesses que je parcours de bas en haut et de droite et de gauche, décrivant des volutes sur ses lobes charnus
qui ne demandent qu’à être caressés. Parfois un doigt s’égare dans sa raie ou sur les lèvres de son sexe, titillant leur douce chair. A un moment l’homme n’a pas résisté à l’envie
de venir voir de plus prêt, et pour ce faire, s’est levé et direction le bord de l’eau, juste les pieds, et promenade le long du rivage histoire de passer devant nous. Je ne l’ai
pas raté, dès qu’il fut à notre hauteur, ma main s’est glissée dans la raie de ma belle et crac, la voici écartée dévoilant ce qui s’y trouve au fond, un bijou planté dans le cul.
Finalement l’homme à fait presque du surplace pendant un bon moment, matant discrètement et moi lui offrant la vue du cul de Maéva paré de son rosebud bien brillant au soleil.
Ayant rejoint sa femme le voyeur n’a pas pour autant cessé de nous maté. On s’est retrouvé Maéva et moi sur le flan, face à face, nos jambes emmêlées, ma jambe entre ses cuisses,
elle le cul tendu, tourné vers notre voyeur et moi tirant sur sa fesse pour lui ouvrir encore plus la raie et mettre à vu le bijou qu’elle portait planté dans le cul. Visiblement
notre voyeur était très excité, ne cessant de tirer sur sa queue pour mieux nous la montrer. Mais dès que sa femme se tournait vers lui pour regarder dans notre direction,
monsieur lâchait son engin. Moi je continuais à caresser ma femme soit ses fesses soit sa chatte, et je pense que la dame du voyeur ne devait pas être elle non plus si
indifférente à mes attouchement envers Maéva. Finalement que tous les deux ont du être bien excité et peut-être ont-ils copulé en rentrant chez eux.
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Par Maéva et voyeur34
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