Pour ces vacances insulaires et aller à la plage, ma femme portait une jupe portefeuille
courte. Bien que sa longueur lui couvre tout juste les fesses, quand le vent relevait les volants, le jupon restait en place. J’ai une première fois réduit sa longueur de quelques
centimètres (2 ou 3) sans que le problème ne subsiste. Alors cette année je l’ai fait complètement disparaître, et ça change tout. D’une petite jupe courte mais sage si l’on ne se
penche pas trop en avant, j’en ai fait une jupe coquine, qui peut être portée à la ville, et que portera en ville Maéva cet été.
Bref nous voilà partis à la plage, il n’y a pas de vent et je suis fier de voir ma femme
ainsi vêtue avec sa jupe et un petit corsage dont le tissus dévoile ses aréoles et des tétons qui pointent à en déformer le tissus. Je dois dire que depuis un an je suis assidu à
un pompage de ses tétons pour qu’ils deviennent plus proéminents et cela semble fonctionner.
Nous voilà donc arrivé à la plage, nous sommes les seuls pour l’instant et déjà je caresse
les fesses et le sexe de Maéva. Je ne peux pas m’en empêcher. C’est une drogue. Il faut que se sente sa peau, que je devine ses formes sous ses habits, que j’ai la vision
permanente de ses longues jambes, de ses cuisses. Dix heures, voici le premier homme qui arrive. Il se place assez loin de nous derrière un rocher. Peu être un voyeur, car
sur cette plage il y en a beaucoup. En effet c’est un voyeur, j’entrevois son visage de temps en temps qui émerge de derrière le rocher, le regard dans notre direction. C’est
alors que je me permets de proposer à ma femme de la protéger du soleil. Et comme toujours, mes doigts finissent entre ses cuisses. Tantôt sur ses fesses pour finir dans la raie
de cul en faisant une halte sur son œillet, tantôt sur son sexe, en laissant trainer mes doigts sur ses lèvres, essayant de les lui écarter pour investir son trou à bites. Notre
voyeur, restera la tête dépassant du rocher toute la matinée, jusqu’à notre départ. Ce jour là, trois hommes venant vers notre plage, équipé d’appareils photos, m’ont semble t-il
récolté des photos volées. L’un deux avait un téléobjectif. Quand je me suis aperçu de leur présence, j’avais la main entre les cuisses de Maéva, mes doigts titillant son clito,
et l’un deux, celui équipé d’un téléobjectif prenait des photos l’objectif dans notre direction. Si le matin il n’y avait pas de vent, ce ne fut pas le cas pour notre retour. J’ai
pu ainsi profiter et voir la jupe de Maéva se soulever à maintes reprises, et dévoiler sa nudité ( la plage naturiste où nous étions, était à une extrémité, et pour y parvenir,
traverser une plage textile, puis retour à notre domicile à pied, à la vu de tous.
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