Maeva, petite Salope s'exhibe

Encore un matin de plage au bord de l’eau, et comme toujours s’il y a un mâle non loin de nous, j’essaye d’attirer son attention en caressant le cul de ma femme. Ce matin l’homme se trouve juste à côté de nous et n’a pas tardé à remarquer mon manège. Faut dire que je ne me retiens nullement dans mes attouchements. C’est souvent que ma main traîne dans la raie du cul de Maéva, et que lquefois mon index s’immobilise sur sa rondelle. L’homme ne perd rien de la scène, il nous mate. Puis il se lève et se dirige vers l’eau, entre dans celle-ci. Puis l’eau à mi-cuisse, il se déplace le long du rivage, pour s’arrêter juste en face de nous. Moi ma main sur les fesses de ma femme, je continue à caresser. C’est cet instant que je choisi pour protéger le corps de ma femme. Et bien sur  c’est sur ses fesses que je m’éternise. Je profite de la situation pour lui écarter la raie et montrer sa rondelle à notre voyeur qui mate ouvertement le cul de ma belle. C’est un peu plus tard que Maéva s’est mise sur le dos, jambes écartées la chatte au soleil. Dès lors, ma main s’est posée sur son pubis, le caressant avec de temps en temps, une virée de mes doigts vers son bouton. L’homme n’a cessé de mater, ce qui m’a encouragé à aller plus loin. La main posée sur la cuisse de Maéva, mon petit doigt et venu lui caresser les petite lèvres. L’homme n’a pas tardé à remarquer mon manège. Il est retourné à l’eau et a recommencé  sa promenade le long du rivage en faisant des poses juste en face de nous.  Ainsi il pouvait voir mon doigt qui massait les petites lèvres de l’abricot imberbe de ma petite salope. Ce manège a duré toute la matinée, alternant les caresses entre son cul et sa chatte. Mais l’instant le plus excitant fut quand ma femme et moi, nous nous sommes mis sur le flan, ma femme le cul tournée vers le voyeur et moi pouvant voir sa réaction. Je n’ai pas tardé à glisser une jambe entre celles de ma femme, ouvrant ainsi ses cuisses, et ma main allant fouiller son abricot. Il devait voir mes doigts lui caresser la fente. Puis j’ai fini par lui écarter les fesses qu’elle avait déjà bien ouverte vu sa position, mes doigts dans sa raie. Notre homme en a profité un maximum et moi aussi.