L’après midi était bien avancé, quand j’ai vu arriver notre
voyeur de la première exhibe. Comme la fois dernière, il s’est installé très près de nous et bien sur le visage calé en droite ligne sur la raie du cul de ma femme. Bien sur je me
suis occupé du petit cul de Maéva, trop content de voir notre voyeur se poster devant son cul pour le mater, mais hélas je ne pouvais décemment lui doigter le cul devant tout le
monde. Alors j’ai demandé à Maéva de se mettre sur le dos pour montrer sa chatte à notre homme qui ne l’avait jamais vu de si près. Je redoutais que ma femme me dise non vu la
proximité du voyeur. Mais sans rechigner, elle s’exécuta. Je lui demandais si elle voulait que je la protège. C’est un code entre nous qui signifie, « je peux m’occuper de
ton sexe ». Me donnant son autorisation, je me suis occupé de son abricot sous les yeux de notre homme, en insistant sur les lèvres de sa vulve. Son fruit est si doux à
caresser que je reviens souvent dessus, en laissant trainer mes doigts dans sa fente. Après ce traitement, je me suis allongé à coté de Maéva et je lui ai glissé à l’oreille,
d’écarter encore plus ses cuisses qui étaient relevées. Elle refusa pour la simple raison, que le voyeur était trop proche. Je lui expliquais que s’il était si près c’était pour
mieux voir et qu’en écartant ses cuisses cela allait exciter notre homme. A ma grande surprise elle s’exécuta. Par deux reprises elle déplaça une jambe, ouvrant en grand la
boutique. Je me relevais pour voir son fruit offert au regard de notre homme.
Par la même occasion, comme l’homme regardait dans ma direction,
je lui signifiais par le mouvement de mes lèvres et du majeur, « demain matin 9h00 dans les dunes. Très vite il comprit et nous quitta.
Déjà 9h10 et il reste le chemin à faire du parking à la plage.
Pourvu que notre voyeur ne soit pas parti, ne nous voyant pas. Arrivé à l’emplacement, il y a déjà une personne allongé sur le haut de la dune, mais ce n’est pas notre voyeur. On
s’installe. Ma femme me fait remarquer qu’il y a un voyeur. Je lui confirme que j’ai vu. Nous nous allongeons, ma femme sur le ventre et moi sur le côté, guettant l’arrivée de
notre homme et par la même occasion, constatant que celui qui était déjà là, ne cesse de jeter des regards vers nous pour voir ce que nous faisons. Enfin voici notre homme qui
arrive et s’installe sur notre gauche. Il est caché du regard de ma femme par une touffe d’herbe. Je lui fais signe de reculer un petit peu. Toujours cette peur de voir Maéva se
bloquer, d’une présence trop proche.
Et bien voilà, il y a deux voyeurs qui sont là pour regarder,
alors commençons, surtout que celui à qui j’ai donné rendez-vous commence à se masturber. Oui mais voilà qu’un troisième larron vient d’arriver, puis je m’aperçois qu’il y en a un
quatrième. Petit problème, les deux derniers restent avec leur short, hors nous sommes sur une plage naturiste, et je n’admets pas çà. Deuxièmement, j’avais en tête le souvenir du
voyeur qui s’était masturbé jusqu’à éjaculer parce qu’il avait vu le cul de ma femme se faire doigter. Est-ce pour le cul de Maéva, son abricot, sa jouissance. Bref, le plaisir de
savoir que sa femme peu faire bander un homme, flatte l’ego de l’homme que je suis. Bon j’ai quand même pris mon appareil photo pour faire quelques clichés. En plus j’avais mis
quelques consignes sur un papier à l’encontre de notre voyeur que j’ai enfoui dans le sable en lui montrant ce que je faisais. Il s’est éloigné avant notre départ pour le bord de
la plage, puis ai revenu récupérer la missive.
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Amicalement