Samedi 20 septembre
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C’était la veille de la fin des vacances, il est vrai que Béziers n’est pas loin de Sérignan, mais
lorsqu’on travaille pour soi, on ne compte pas les heures, donc les vacances on profite un max. Souvenez-vous du voyeur très sympathique de l’année dernière. Celui-ci m’avait
laissé son numéro de portable et qui était indisponible pour des raisons familiales. Malgré cette indisponibilité, celui-ci m’avait demandé de lui laisser des messages pour
l’informer des jours où le matin nous allions dans les dunes. Donc pour cette dernière matinée, je lui avais envoyé ce SMS :
Les exhibes de Maéva.- over-blog : Maéva, les jambes bien écartées montrait sa chatte au voyeur
très sympathique qui la matait. Peut-être que Maéva se laissera caresser par celui-ci …
Direction la plage où je nous installe de façon à ce que les voyeurs puissent bien avoir les charmes de
Maéva sous les yeux. Je n’attends pas qu’un voyeur arrive pour commencer à caresser ma femme. Elle est sur le ventre et ses fesses au soleil attirent mes mains comme des aimants.
Je les promène sur les deux lobes, mes doigts se glissent dans sa raie sur sa fente.
Cela fait déjà un long moment que nous sommes là allongé quand je vois arriver quelqu'un. Je ne suis pas
long à reconnaître mon contact, pourtant cela fait un an que je ne l’ai vu, mais celui-ci m’a laissé une si bonne impression que j’ai du mémoriser son visage. Je suis au ange,
celui-ci s’installe juste au dessus de nous, à la droite de Maéva à un peu plus de 5 mètres. De sa position, il a une vue plongeante sur les fesses de ma femme que je remets à
caresser. Notre voyeur est à demi assis à demi couché, en appui sur un coude. De sa main restée libre, il se saisie la queue pour se branler, pendant que les miennes caresse le
cul de Maéva. J’indique à ma femme qu’un voyeur vient d’arriver. Mes mains n’arrêtent pas de parcourir son cul. Mes doigts traînent dans sa raie que j’écarte. J’aime montrer au
voyeur l’œillet qui si trouve blotti. Mon petit manège a eu vite fait de faire dresser la bite de notre homme. Puis j’ai demandé à ma femme de se retourner. Une fois sur le dos je
me suis occupé de la fente de Maéva. Sachant que ma femme n’oserait pas se faire masturber devant un voyeur, je lui ai dit que celui-ci était parti. Auparavant j’avais arrêté de
la caresser pendant 5 minutes. Donc le départ de notre voyeur lui semblait plausible. J’ai commencé par lui caresser les cuisses puis mes doigts ont pris possession de sa fente.
J’indiquais à notre voyeur de se mettre juste en face de l’entrecuisse de Maéva, dont il était caché par la dune et des touffes d’herbes. D’une main je lui ai fait écarter encore
plus les cuisses, de façon à bien dégager son abricot. A un moment j’ai glissé mes doigts dans son puit d’amour pour recueillir son jus, puis j’ai portais mes doigts à la bouche
pour goûter son nectar. J’ai bien masturbé sa fente jusqu’à ce qu’elle jouisse. Elle a poussé de petits cris étouffés, son corps s’est raidi avant de se relâcher. La connaissant,
je repris mes caresses effleurant du bout des doigts ses petites lèvres. Je sais qu’à ce moment précis, elle attend ce genre d’attouchement pour repartir dans un deuxième orgasme.
Elle est partie quatre fois, de façon différente et son sexe parlait pour elle. Je sais que si nous avions été chez nous, elle se serait lâchée en poussant des râles de plaisir.
Là, elle les a étouffé.
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Notre voyeur venait d’assister à la jouissance de Maéva. Je ne voyais que sa tête, son sourire, l’air
ravi, me laissaient à penser que celui-ci avait apprécié notre prestation. Mon plaisir était à son comble, je n’ai pu résister à l’envie que j’avais de plonger ma tête entre les
cuisses de Maéva. Sans penser que l’on pouvait me voir du bord de la plage. J’ai glissé ma tête entre les cuisses de ma femme et ma bouche sait saisie du beau fruit. Je le lui ai
bouffé, léché devant le voyeur. J’aime le parfum et le goût de son sexe. Maéva avait repris ses esprits, quand je lui ai dit que le voyeur était revenu. Elle m’a fait par qu’elle
souhaiter descendre au bord de l’eau car il commençait à faire chaud. Nous avons pris nos affaires. Maéva est partie avant moi vers le bord de mer. Là le voyeur à pris ses
affaires, en passant à ma hauteur il m’a dit « vous avez une belle femme, elle est magnifique » puis avec sa main droite, le pouce et l’auriculaire tendus en forme
de combiné téléphonique qu’il à porté à l’oreille, il a ajouté « on se rappelle ».
Depuis je l’ai eu au téléphone. Il m’a réitéré les compliments à l’encontre de Maéva. Moi pour ma par je
lui ai dit que cela ne me déplairait pas de le voir tripoter ma femme. J’imagine la scène lui et moi avec Maéva au milieu, se faisant tripoter par nos mains, les doigts tout
gluants de sa mouille, et cela devant un voyeur qui se branle.
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Par Maéva et voyeur34
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