Mercredi 3 septembre
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Cette année, ce n’est pas dans les dunes que nous avons commencé nos exhibes. C’est bien sur la
plage que celles-ci ont commencée. Nous étions installés pour notre premier jour de plage à mi distance de l’eau et des dunes. C’est en voyant un homme passer sur le haut des
dunes, avec un comportement qui ne laissait aucun doute sur ses penchants de voyeur, que j’ai commencé à caresser les cuisses puis les fesses de Maéva par des passages alternés
des cuisses au dos, tout en regardant dans la direction de l’homme. Il a continué à parcourir les dunes, puis a fait demi-tour. Arrivant à notre hauteur j’ai remis en route mes
caresses, pour voir enfin notre homme obliquer et descendre des dunes et venir étendre sa serviette perpendiculaire au nôtres à moins de 10 mètres de nous. Ma main à l’intérieur
de la cuisse, je remontait celle-ci vers les fesse de Maéva, en laissant traîner mes doigts sa la fente puis dans la raie du cul. Ou bien, ma main caressait une des fesses en
partant de sa raie vers l’extérieur de la fesse, ainsi sa raie s’ouvrait et l’homme pouvait entrevoir son sillon bien ouvert. Maéva n’avait pas remarqué notre voyeur et c’est
peut-être pour cela, que je l’ai vue se tourner vers moi en se positionnant sur le côté en chien de fusil. A cet instant l’homme avait une vue directe sur ses deux fesses et sur
sa raie. C’était trop beau pour résister à la tentation de la prendre une main sur la fesse libre et de tirer dessus, ouvrant ainsi sa raie et dévoilant son petit trou à notre
voyeur. Je voyais l’homme se mettre sur le côté et discrètement se tripoter la queue en tirant sur la hampe pour dégager le gland. Puis Maéva se mis sur le dos et comme toujours
je profitais de mon rôle attitré de protecteur pour étaler le produit solaire. Bien sur ce que j’aime le plus c’est enduire la fente de crème protectrice en insistant bien sur
cette zone. A elle seule je passe autant de temps sur son abricot que pour le reste du corps. Bien sur même punition pour ce qui est des fesses et de la raie de son cul. Bref
une fois la protection appliquée, je trouve toujours une excuse pour revenir à la charge et mettre mes doigts sur son abricot. J’ai laissé traîner mes doigts sur ses lèvres en
regardant notre homme qui lui se tripotait la queue. Ce petit manège a bien duré une heure, puis il s’est levé pour partir dans les dunes. Là il a posé sa serviette et assis les
jambes écartées, il a commencé à se masturber. Le lendemain, je n’ai pas eu le temps de me demander s’il y aurait un voyeur sur la plage. Non, le même que la veille, est venu se
poster devant nous. Je n’ai pas hésité à recommencer mon manège. Celui-ci a bien apprécié notre exhibe, le pouce vers le haut et sa mimique en disait long sur sa
satisfaction.
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Par Maéva et voyeur34
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