Sale temps pour ce mois de Mai. Nous avons réussi quand même à aller
deux fois à la plage. Pour notre première visite, j'avais demandé à Maéva de mettre une petite jupe en jean qui lui arrive au ras du cul. Hélas je n'ai pas de photo pour l'instant à
mettre dans l'article pour corroborer ce que je dis. Le vent qui soufflait assez fort ne nous a pas laissé le choix. Pour se mettre à l'abri, direction les dunes. Petit problème,
par un temps pareil, les dunes sont bien occupées. Nous avons tant bien que mal trouvé un petit coin qui ne nous permettait pas de bien nous mettre en vue, et surtout Maéva. Après
une vingtaine de minutes, il n'y avait pas eu encore de passage d'hommes potentiellement voyeurs. Puis enfin j'aperçois au dessus nous, sur le haut de la dune, un jeune homme qui
arrive. Ni une ni deux, je pose ma main sur le pubis imberbe de ma femme, et le lui caresse. L'homme arrive à notre hauteur puis nous dépasse, fait quelques pas, se retourne et se
positionne en retrait d'herbes folles afin de se dissimuler. De là où il est il a une vue plongeante sur le sexe de ma femme. Il peut
voir maintenant mes doigts lui caresser la fente. Je ne sais pourquoi, mais je décide d’arrêter. L’homme quitte son observatoire voyant que rien ne se passe. Après avoir attendu le
passage éventuel d’un homme, en voici un qui se présente. Même cinéma, ma main se balade sur la cuisse de Maéva, passe sur son pubis, effleure la naissance de sa fente. L’homme
semble conquit, il descend du haut de la dune pour poser sa serviette à moins de 10 mètres de nous, dans une position qui place son regard en plein dans l’axe du vé que forme les
cuisses écartées de Maéva, le regard en plein sur son abricot. Je regarde en direction de l’homme tout en caressant Maéva. Il comprend que je suis consentant à ce qu’il regarde, il
à affaire à un couple exhibitionniste. De mon coté, mes caresses se font de plus en plus pressante et je sens Maéva sur le point de partir, son sexe est très juteux. J’ai entre mes
doigts l’abricot d’une petite salope qui ne demande qu’à jouir. J’arrête net mes caresses et glisse à ma femme qu’un voyeur vient de se
mettre devant nous. J’attends jusqu’à ce que l’homme se lève et parte vers le bord de l’eau. Je reprends mes caresses, mes doigts glissent à l’intérieur de son fruit. Je sais que
notre voyeur est en train de revenir prendre place sur sa serviette. J’arrête mes caresses juste lorsque celui-ci s’allonge. Il s’adresse à moi et me dit que l’eau est froide.
J’acquiesce. Puis je me retourne et dit à Maéva que notre voyeur est allé éteindre le feu qu’il avait au bout de la queue. L’homme fait semblant de ne pas nous regarder et moi je
fais semblant de le croire et donc profite de ces instants pour m’occuper du fruit de ma douce. Tout à coup juste à coté de moi, j’entends l’homme me dire : « Si je vous
gène je peux partir ». Je ne sais pas pourquoi mais j’ai répondu oui. Sans rien dire je vois notre voyeur disparaître. Je me dis en moi-même qu’il est allé se poster ailleurs
pour nous mater, mais je dis à ma femme qu’il est parti. Je regarde mais ne vois rien. Bon puisque hélas il n’y a plus personne et que je sens Maéva bien chaude, faisons cela pour
nous.
Je commence à la
caresser. Ma main court sur son sexe, mes doigts se glissent dans sa fente bien juteuse faisant des clapotis tellement elle est pleine de son jus. Mes doigts la fouillent, remonte
le long de ses lèvres, s’arrêtent sur son bouton et commencent à le faire rouler en imprimant un mouvement circulaire. A ce moment je ne sais pourquoi, j’ai jeté un regard
par-dessus mon épaule. Hé oui il était là à nous mater. Ouf merci a lui, il a compris mon manège. Ce faisant, de son promontoire il n’a pas fait que mater, il a aussi attiré
l’attention d’un autre homme que je viens de découvrir juste au dessus à notre gauche. Deux voyeurs qui matent les cuisses largement écartées de ma salope et de mes doigts sur son
clito. Je m’adresse à Maéva et lui dis que j’aime quand elle devient une petite salope, une pute qui s’exhibe aux regards des autres hommes. Ces simples paroles ajoutées à mes
caresses, ont immédiatement déclenché son premier orgasme dans un râle à peine retenu suivi de gloussements sans doute perçus par l’auditoire. Mes doigts ont continué à lui
arracher deux autres orgasmes.
Après tant d’émotion, une petite pose. Maéva se met sur le ventre offrant son
cul au soleil. Jambes bien écartées, son entrecuisse m’offre la vision de sa moule bien juteuse. Son dos et ses fesses n’ayant pas eu de protection contre les
rayons du soleil, je m’atelle à la tache. C’est sur ses fesses que je passe le plus de temps. Je sais que les voyeurs m’observent. Mes doigts glissent dans sa raie. Le lait
solaire me sert de lubrifiant et c’est avec facilité que mon index plonge dans son petit trou après lui avoir massé son œillet, puis en ressortir et lui écarter les fesses pour
montrer son petit trou au voyeur. Pendant tout le temps de notre exhibe, un des voyeurs n'a cessé de se masturber la queue, montrant son gland bien gonflé comme pour me dire "tu
vois ta petite salope comme elle m'excite". Nous avons continué notre petite séance jusqu’à l’heure de remonter de la plage. Une dernière exhibe du cul de Maéva à nos voyeurs,
quand celle-ci, après s’être habillé, se penchait pour ranger le nécessaire de plage. Sa mini laissait tous voir de ses fesses et de son abricot tout lisse. C’est à cet instant
que le voyeur qui soit disant était parti, a fait sa réapparition, venant chercher sa serviette. Les deux nous ont accompagné à distance jusqu’à l’escalier, comme pour profiter
une dernière fois de la vue des fesses de Maéva, montant l’escalier.
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