Maéva petite salope s'exhibe par voyeur34

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Comme de coutume, je caressais les fesses de ma femme, quand notre voyeur est arrivé. La trentaine, plutôt mignon, allure sportive. Bref le genre avec lequel je verrais bien Maéva se laisser convaincre de se faire caresser en demandant de venir se joindre à nous. Pour cette deuxième exhibe, notre homme était très proche. Au plus, celui-ci était à moins de quatre mètre, sur le même niveau que nous. Dans le prolongement de l’axe des cuisses de ma femme. Celui-ci était allongé sur le ventre. Comme à l’habitude j’informais Maéva de sa présence, et  lui demandais de bien ouvrir ses cuisses pour qu’il puisse voir mes doigts lui caresser la moule. Tout d’abord je lui écartais la raie du cul pour dévoiler son petit trou. Celui-ci s’ouvrit vu le traitement qu’il avait subit pendant la nuit. Comme je ne dormais pas j’en ai profité pour lui introduire quatre doigts jusqu’à la deuxième phalange. Pendant plus d’une heure sont trou fut bien dilaté ce qui eu pour effet de laisser son sphincter très souple toute la journée. Fort de cette constatation, je mouillais le majeur et l’index et plantais mes deux doigts dans le trou du cul de ma salope. Celle-ci remua sa croupe en signe de contestation, trouvant que j’allais un peu loin. Malgré son opposition, je persistais jusqu’à ce que mes doigts eu été avalés par son petit trou. Pendant ce temps je voyais la main de notre voyeur, se glisser sous son ventre pour atteindre sa queue, afin sans doute, de la mettre dans une position où sa raideur lui permettrait de mieux apprécier l’état de tension de son membre. Je retirais mes doigts de son petit trou afin de m’occuper de son sexe. Ayant jugé que de sa place, ma main était une entrave à ce que le voyeur espérer voir, je lui fis signe de se déplacer. C’est fou comme dans cette situation, on peut expliquer par des gestes, ce que l’on souhaite faire comprendre. Et en plus cela fonctionne. Une fois notre homme en place, je commençais à titiller les petites lèvres de ma belle. Je ne fus pas long à deviner que celle-ci appréciait mes caresses, ses fesses trahissant le plaisir qu’elle prenait, par un début de chair de poule localisée dans un premier temps le long de sa raie. Au fur et à mesure que mes doigts devenaient  pressants, la chair de poule se répandit à toutes ses fesses. Puis ses jambes se tendirent, s’écartèrent pour mieux recevoir mes caresses, ses fesses se redressèrent, se tendant vers le ciel. Ciel qu’elle n’était pas loin d’atteindre et que je formulais avec ma bouche en direction du voyeur, en articulant chaque syllabe sans que le moindre son sorte de ma bouche « elle va jouir ». Et c’est dans une tension extrême de son corps, qu’un râle contenu me faisait comprendre qu’elle venait de jouir.

L’homme me fit signe en mimant avec ses doigts l’envie qu’il avait de toucher lui aussi au sexe de Maéva. Hélas je sais que Maéva n’est pas prête pour ce genre de relation, aussi c’est avec regret que je lui signifié que cela était impossible. J’ai demandé à Maéva de se retourné afin de lui caresser le sexe et d’offrir à notre homme, la vue intégrale de son sexe imberbe. Je repris mes caresses en espérant que Maéva se laisserait aller à un deuxième orgasme. Hélas  elle me fis comprendre qu’elle en avait assez, et de plus l’homme par ses geste m’informait avec regret qu’il devait partir.

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Mer 15 sep 2010 Aucun commentaire