Maéva petite salope s'exhibe par voyeur34
Voilà, il y a quelques années de cela, Maéva a pratiqué le trio. A cette époque, cet homme avait répondu à une annonce que j’avais faite sur une revue et elle concernait l’exhibe sur la plage. Je passerai sur la prise de contact entre lui et moi et ce qui suivi de nos soirées à trois.
Non ce que je veux parler dans cet article, c’est qu’à l’époque nous devions nous voir aussi sur la plage et je nourrissais le désir de voir Maéva se faire caresser par lui devant tout le monde. Hélas pour des raisons diverses cela n’a pu se faire. Mais voilà, depuis deux ans j’ai rencontré un voyeur sur la plage avec qui j’ai eu des échanges téléphoniques. Depuis peu Maéva est au courant que je préviens cet homme quand nous allons à la plage. Mon esprit n’étant jamais au repos et en constante recherche de situation excitante, je me suis imaginais ceci pour l’été prochain.
Maéva vient de s’allonger sur le ventre, les fesses tournées vers le soleil. Je viens de la prévenir que j’avais averti notre voyeur que nous allions à la plage. Elle ne semble pas surprise de ma démarche. Voyant sa réaction je me lance pour lui dire que je souhaiterai voir notre voyeur venir nous rejoindre, afin de pouvoir discuter, de connaître ce qu’il pense d’elle et de sa façon de s’exhiber. Sa réaction étant négative, j’entame une discussion avec elle pour la rassurer en lui indiquant que notre voyeur est quelqu’un de discret et respectueux, ce qu’elle semble reconnaître, et que cela va bien se passer.
Quand celui-ci apparaît Maéva ne l’a pas encore vu. Il s’installe comme de coutume à une dizaine de mètre de nous. C’est alors que Maéva l’aperçoit. Je lui indique que je vais lui faire signe de se rapprocher de nous. Elle me prend la main comme pour me demander de ne rien faire. Je la rassure à nouveau et lui dit que tout va bien se passer. Je me tourne vers notre voyeur et lui fais signe de venir se joindre à nous. Je sens ma femme un peu tendue, le voici qui arrive se penche et tend une main à ma femme et à moi pour nous saluer et se présenter. Je lui fais signe de s’installer à notre gauche et de ce fait directement à coté de ma femme. Il se place en vis-à-vis de nous pour pouvoir discuter. De sa position, il a une vue sur l’entrecuisse de Maéva, celle-ci s’étant retournée pour le saluer. Ses cuisses sont serrées et la seule vision qu’il a pour l’instant est son pubis imberbe. Nous entamons une discussion à trois afin de faire connaissance. Cela fait bien une demi-heure que nous discutons et le soleil commence à chauffer nos corps. Maéva est plus détendue. Pour preuve son entrecuisse s’est légèrement ouvert. Le soleil donne sur son sexe et les yeux de notre voyeur sont de plus en plus dirigés vers le sexe de ma femme. Elle-même a semble t-il remarqué la chose. Je profite de la situation pour commencer par exprimer du regard à ma femme, le fait que je souhaite la voir écarter encore plus les jambes. Après avoir insisté, enfin elle consent à les écarter discrètement par diversion de mouvement de son corps. C’est alors que je pose ma main sur la cuisse de Maéva et que je commence à la lui caresser, puis je la prends fermement et l’attire vers voir ouvrant ainsi sa fourche. Son abricot et largement offert à la vue de notre voyeur. Je lui demande comment il trouve la chatte de ma femme. Il s’adresse à moi n’osant dire à ma femme qu’il trouve sa fente superbement belle. Je ne tiens plus. Ma main glisse vers le con de Maéva. Mes doigts glissent sur ses lèvres pendant que je m’adresse à notre voyeur pour lui dire combien son sexe est doux. Je sens un soupçon d’humidité sur le sexe de Maéva. Je retire ma main et demande à Maéva s’il ne faudrait pas nous protéger du soleil avant de brûler la peau. Comme elle est d’accord, je commence par lui enduire le haut du corps de lait solaire en déposant de-ci delà des noisettes de lait que j’étale en insistant sur ses seins. Pendant ce temps notre voyeur nous regarde. Je procède de la même façon jusqu’au ventre. Puis j’attaque le reste du corps. Je commence par mettre des noisettes de lait sur ses deux jambes jusqu’au haut des cuisses et sur son pubis. Je commence par étaler doucement le lait sur la cheville droite, m’adressant à notre voyeur je lui demande s’il veut bien s’occuper de l’autre jambe. Sa réponse est positive et il joint le geste à la parole. Je perçois un sursaut de crispation de Maéva. Je remonte ma main le long de la jambe en étalant le lait. Arrivé en haut cuisse, j’attends que notre voyeur soit presque arrivé lui aussi à cet endroit. A cet instant ma main passe sur le pubis de Maéva pour enfin plonger sur sa chatte. Mes doigts descendent sur ses lèvres, s’arrêtent à la naissance des fesses, puis remontent en couvrant bien son sexe de tous mas doigts, redescendent. Tout en remontant ma main sur le sexe de Maéva, je fais signe au voyeur que c’est à sont tour d’entamer le voyage entre les cuisses de Maéva. Enfin je vois ma femme se faire caresser la fente par des doigts qui ne sont pas les miens. Ma main vient se joindre à celle du voyeur. Maéva nous ouvre grand son entrecuisse pour que nos deux mains puissent voyager sur sa fente. Je suis le premier à glisser un doigt à l’intérieur de ses lèvres. Je n’ai pas de mal, la salope à la chatte toute juteuse. Je devrais dire inondée, dégoulinante de mouille. Mes doigts son gluants de son nectar. J’invite notre voyeur a lui aussi venir glisser ses doigts dans la fente de ma salope.
Je devance votre enthousiasme donc voici la suite, mais j'attends beaucoup de commentaires.
Serait ce du sperme d'un voyeur qui n'a pu se retenir, qui macule le sexe de Maéva !
Maintenant il n’était plus simplement un voyeur mais le complice de nos jeux. Après s’être bien fait doigté la chatte par nous deux, je demandais à ma femme, de la voix et du geste de se retourner pour nous offrir ses fesses. Elle se mit à plat ventre et lui indiquais que nous allions lui passer du lait solaire. A cet instant, je vis poindre derrière les broussailles une tête. Je réalisais que nous n’étions pas seul dans les dunes. Un rapide tour d’horizon des dunes me fit découvrir un deuxième voyeur dissimulé derrière une aspérité du terrain, dont une main astiquait son manche. Je signalais à notre complice la présence des deux voyeurs par un signe des yeux et un doigt sur les lèvres, Maéva ne s’étant aperçu de rien. Après avoir couvert son corps de noix de lait solaire, nous commençâmes de concert à étaler celui-ci. Arrivé à hauteur de ses fesses, nous primes chacun possession de son cul. Nos mains se sont égarées dans sa raie. J’ai écarté ses fesses pour lui montrer et ouvrir son petit trou. Notre complice a mouillé son index en déposant un peu de salive sur le bout de son doigt avant de l’appuyer sur son œillet et de l’enfoncer dans son cul de salope. Je voyais nos voyeurs se branler la queue, des queues tendues par la vision de nos ébats. En même temps que notre complice s’occupait du cul de Maéva, mes doigts chatouillaient la fente de Maéva, une fente toute juteuse. Cela faisait des bruits de flic-flac. Maéva se remit sur le dos et nous, nous nous sommes remis à lui tripoter la fente et les seins. A ce régime là, je vis que ma femme prenait du plaisir. Cet pour cette raison que je lui glissais au creux de l’oreille « caresse lui la queue, que je vois tes doigts sur sa bite, vas-y salope ». Il n’y eu aucune protestation, sa main se posa sur sa queue, ses doigts enserrèrent l’organe et commencèrent un va et vient lent avec par intermittence des accélérations. Les voyeurs qui étaient autour de nous se branlaient ouvertement la queue. Je pris en main le sexe de Maéva en demandant de l’aide à notre complice, et tous deux nous nous efforçâmes de l’emmener jusqu’à l’orgasme, moi l’index planté dans le cul et le pouce dans son trou à bite, lui s’occupant de son clito. On a vu poindre l’orgasme, son corps s’est tendu, des gloussements contrôlés sont sortis de sa bouche, sa main s’est agitée sur la queue de notre complice, son corps a été secoué de convulsions, un râle est sorti de sa bouche et notre complice est parti en jets puissants qui se sont écrasés sur les seins de ma salope. J’avais la queue en feu. J’ai pris ma main et j’ai étalé ce foutre sur sa poitrine. Je regardais ma femme, elle était en extase le sourire au coin des lèvres, l’air amoureuse. J’ai passé mes doigts encore humide du foutre sur ses lèvres, comme pour l’apaiser, sa bouche s’est ouverte pour les sucer. Je me suis penché sur elle pour l’embrasser. Sa bouche avait le goût du sperme. Pendant ce temps, je crois mais je n’en suis pas sur, mais il me semble que j’ai vu les deux voyeurs éjaculer eux aussi. Nous sommes resté un bon moment ensemble avec notre complice avant de repartir. Il nous a avoué qu’il aurait bien aimé goûter le jus de son fruit bien juteux s’il avait était sur que du bord de plage il ne puisse être vu. Les voyeurs eux sont partis avant, voyant qu’il ne se passait plus rien.
Tout ceci n’est que fantasme sauf deux choses. Un, que le voyeur existe, que je le préviens quand on va à la plage, que ma femme est au courant de ma démarche. En deux, le récit est tout simplement ce à quoi je pense souvent et que j’aimerais réaliser. S’il y a une première fois, j’aimerais au moins arriver jusqu’à le voir m’aider à étaler le produit solaire. A partir de là si Maéva se laisse faire, tout est envisageable.
a bientôt pour la suite
bises
Je crois que je vais faire de l'exib sur la plage cet été!!
Et où ça cet été ?
bises