Maéva petite salope s'exhibe par voyeur34
Le soleil et la température agréable de cette fin d’octobre nous avaient incités à faire un dernier tour de plage avant les mois d’hiver. Pour être sur de trouver un voyeur, j’avais contacté le voyeur sympathique de l’année dernière de son prénom Philippe. J’avais convenu avec lui que nous nous mettrions en bord de plage, parallèle au bord de l’eau, afin que lui puisse se mettre en face de nous, de façon à offrir au regard de Maéva, ses fesses et son sexe.
C’est donc une fois installé, que je le vis arriver vers nous. Il fit un premier passage au bord de l’eau avant de revenir vers nous et d’installer sa serviette à quelques mètres de nous, le regard juste dans l’axe de la fourche de ma femme. Positionné perpendiculairement à nous, il pouvait ainsi offrir à Maéva la vision de son cul et de sa bite. Ma femme, allongée sur le ventre, jambes écartées, faisait chauffer son minou au soleil. Chose quelle adore la chaleur sur son sexe lui procure des sensations agréable. Ne pouvant rester sans rien faire, je la voyais bouger ses jambes repliées, les pieds vers le ciel, tels des mains qui s’agiteraient pour attirer l’attention d’une personne de sa connaissance. Par ces mouvements je voyais bien qu’à chaque fois que ses jambes formaient un V, le haut de ses cuisses s’ouvrait, offrant une vue plus dégagée de son sexe. Confirmation me fut donnée par Philippe qui ne faisait signe avec son pouce levé « c’est super » mais aussi avec une mimique de ravissement concernant de ce qu’il voyait. D’un geste de la main, il me fit comprendre qu’hélas pour lui, il ne pouvait pas se masturber devant ce si beau spectacle, la proximité d’autres personnes ne lui permettait pas de se tripoter la queue sans le risque d’être vu. Ma femme était maintenant sur le dos, jambes écartées. Au fond de moi, j’avais l’envie de lui dire que l’homme qui était devant nous, ne l’était pas par hasard. Je fis donc cette révélation à ma femme, lui expliquant tout le cheminement depuis l’année dernière. Ce fut un choc pour elle. Elle avait remarqué Philippe, mais pensait que c’était le hasard qui l’avait amené là. Le voyant s’installer devant nous, elle se doutait bien qu’il pouvait mater, mais de là à imaginer que ce fut moi qui l’avait contacté … Bref cela jeta un froid entre nous et de fait nous écourtâmes notre journée plage.
Le lendemain je
contactais Philippe pour savoir s’il avait aimé ce qu’il avait vu. Il me réitéra ses compliments sur la beauté de Maéva et confirma qu’il avait apprécié la vue sur sa chatte et le
mouvement de ses jambes qui lui en montraient plus. Je demandais à celui-ci de me téléphoner en répétant ce qu’il me disait, Que je coupais mon portable afin de laisser sur la
boite vocale le message. Ainsi Maéva tomberait dessus. Mon portable affichait « message » et ne l’ouvrais pas, afin que ma femme s’en aperçoive et ouvre celui-ci. Le
soir rien ne s’était passé, le message était toujours affiché. Je décidais de l’écouter. C’est en nous couchant que finalement la solution est venue. Nous avions commencé à faire
l’amour et en étions à la fin des préliminaires. Elle était au dessus de moi me chevauchant. Ma queue était dans son nid douillé quand je lui annonçais que j’avais eu un message
de Philippe. Elle me révéla qu’elle avait vu qu’il y avait un message. Comme elle ne me demandait rien je me mis à lui dire le contenu de celui-ci, tout en activant dans sa
chatte. Au fur et à mesure de mon compte rendu, je sentais son sexe s’humidifier de plus en plus. A la fin du récit ce fut une vraie inondation. Ma queue nageait dans son jus. Je
la traitais de salope. Que je voulais la voir écarter ses cuisses devant Philippe pour lui dire que c’était une belle salope et que pour un mari, c’était le plus beau compliment
que l’on puisse faire à sa femme. J’ai explosé en elle, elle a joui de mon sperme. Je l’ai masturbée avec pour lui offrir trois ou quatre autres jouissances puis nous nous sommes
endormis dans les bras l’un de l’autre. Depuis j’ai eu Philippe au téléphone et je lui ai fait par de l’envie pour l’année prochaine, de le voir très proche de nous pour mater
Maéva, voir pouvoir la toucher si elle accepte