Maéva petite salope s'exhibe par voyeur34
Encore une histoire de voyeurisme et d’exhibe sur la plage. Cette fois elle se passe au milieu des couples qui se font bronzer. J’ai me suis déjà occupé de Maéva par deux reprises lors de la séance de protection de son corps, contre les agressions du soleil. La première fut pour ses fesses, et je ne suis pas avare dans ce cas de caresses plus ou moins appuyées et discrètes sur ses fesses mais aussi de sa raie. Je laisse volontiers traîner mes doigts à l’intérieur de son sillon, mais aussi à l’intérieur de ses cuisses afin d’atteindre sa vulve. Quand je passe à l’autre côté, je lui demande de bien écarter les cuisses et comme pour les fesses j’insiste lourdement sur son abricot. Cela dit, cela faisait un moment que je restais tranquille, à regarder de droite et de gauche, quand je tombe sur un couple se trouvant non loin d’où nous sommes, à notre gauche devant nous. La femme est entrain de caresser la queue de son homme. Déjà là je commence à ressentir un quelque chose dans le bas du ventre. Puis l’homme prend un flacon de lait ou d’huile solaire et commence à enduire le corps de celle-ci, jusqu’au moment ou je vois sa main s’égarer sur son pubis pour glisser et finir sur sa fente. Il n’en faut pas plus pour me foutre la trique, d’autant que je réalise que ce que je viens de voir et en tout point ce que je propose à ceux qui nous entourent. L’homme s’est aperçu que je regarde ce qui ne l’empêche pas de continuer ses caresses. Moi-même je m’aperçois que finalement je l’encourage à continuer. C’est en tous points ce que je pratique. Que faire ? Et bien faire comme lui, c'est-à-dire ce que j’ai l’habitude de faire. Je prends le lait solaire et propose à Maéva de la protéger. C’est ainsi que celui qui pratiquait l’exhibe à l’instant, s’est retrouvé voyeur de ce que je lui montrais. Je dois dire que j’ai mis la dose. Non pas de lait, mais de caresses. J’ai bien laissé traîner les doigts sur les petites lèvres en essayant de m’introduire à l’intérieur. J’ai caressé son abricot à n’en plus finir. Finalement l’homme n’a plus cessé de regarder dans notre direction. J’ai aussi demandé à Maéva de se mettre sur le côté les jambes repliées pour m’offrir son cul avec une raie bien ouverte. Quand ma main a tiré sur sa cuisse, je n’ai pas eu de mal à l’écarter pour que notre homme puisse bien voir l’œillet de ma petite salope.