Maéva petite salope s'exhibe par voyeur34

Désirs quand tu nous tiens

 

Voici seulement dix minutes que nous sommes dans les dunes, allongés sur nos serviettes, que déjà un voyeur vient s’installer à quelques mètres de nous, le regard enfoui entre les cuisses largement écartées de Maéva. Positionné de trois quarts notre voyeur offre aux regards de ma femme, une anatomie au volume qui laisse présager des proportions hors du commun. Mes mains ne peuvent résister plus longtemps à venir caresser le haut des cuisses de Maéva, pour enfin glisser vers sa fente. Mes doigts effleurent ses lèvres pendant que mon regard est tourné vers notre voyeur. Celui semble d’emblai apprécier ce qu’il se passe sous ses yeux et sa main se saisie de sa queue pour se caresser. Voyant que notre voyeur n’était pas indifférent à ce qu’il voyait, je susurrais à l’oreille de ma femme ce que j’aimerais bien la voir faire. En premier se relever en s’appuyant sur ses coudes et regarder notre voyeur pendant que mes doigts caresseraient son sexe. Dans un deuxième temps, qu’une de ses mains vienne se joindre à la mienne pour offrir ce spectacle à notre voyeur. Sa protester, ma femme se mis sur les coudes, sans toutefois regarder l’homme. Je repris mes caresses sur son abricot, l’homme les siennes sur sa bite. Je glissais ses quelques mots à ma femme « écarte bien les cuisses salope qu’il puisse bien voir ». Sans plus attendre je vis l’entrecuisse de ma femme s’ouvrir largement, offrant son sexe aux regards du mâle et encore plus à mes doigts qui d’une caresse à peine appuyée, maintenant lui astiquaient franchement le bouton. Je n’eu pas à lui demander de regarder notre voyeur. Son excitation lui avait enlevé toute inhibition. Son regard franchement tourné vers notre voyeur, je senti son sexe venir chercher mes doigts et les siens se mêler aux miens. Je me demandais si cette frénésie qui s’était emparée de Maéva était due à mes caresses ou au spectacle que lui offrait notre voyeur. Un sexe énorme, une tige d’au moins plus de vingt centimètre de long et en diamètre cinq ou six centimètres. Un vrai pieu, tendu à l’extrême. Mes doigts quittèrent le sexe de ma femme pendant qu’elle s’allongeait sur le dos, sans que ses doigts n’aient quitté son bouton. Tellement absorbé par cette vision, je n’avais pas vu que deux autres voyeurs s’étaient installés la queue à la main, se branlant eux aussi. J’ai vu ma femme se masturber l’abricot jusqu’au moment où ses jambes se sont tendues et que des gloussements sont sortis de sa bouche. J’ai eu juste le temps de dire à Maéva que notre voyeur était au bord de l’explosion et qu’elle regarde, pour voir sa queue expulser à plusieurs reprises des jets de sperme dans le sable. C’est alors que ma femme a vu les deux autres hommes. Elle m’a juste traité de salaud. Après avoir repris ses esprits, elle a souhaité partir. Je lui ai juste demandé de se mettre à quatre pattes pour rassembler nos affaires et profiter de la pose pour bien tendre son cul et bien écarter les cuisses pour que nos voyeurs aient une dernière vue de ses charmes. Et voilà Maéva le cul bien tendu jambes écartées, le buste plus bas que les fesses, écartant de ce fait sa raie et offrant son œillet aux regards des mâles, cherchant je ne sais quoi au fond de son sac. A cette vue, je vois que les voyeurs ont repris en main leur instrument. Ma main se pose sur le dos de ma femme et je ne peux résister au plaisir de glisser mes doigts vers sa raie. Je passe à l’intérieur sans m’arrêter pour arriver à son sexe. Complètement inondé de mouille bien gluante, mes doigts plongent dans son puit d’amour, en ressorte pour caresser ses lèvres toutes gonflées. Je remonte mes doigts gluants de sa mouille sur son œillet, et d’une légère pression enfonce deux doigts dans son cul jusqu’à la deuxième phalange, en imprimant un mouvement de rotation, puis écarte mes deux doigts pour lui ouvrir encore plus son petit trou. Elle me dit « salaud  arrête » et se relève. Nous repartons, laissant nos voyeurs en quête d’une autre proie. Tout cela doit être bon à vivre, mais pour l’instant n’est qu’un fantasme, en attendant les beaux jours et peut-être devenir réalité. Le plaisir est là où l’on souhaite le trouver. Alors pourquoi pas dans les dunes l’été prochain.

scan-026-1.jpg
Mar 26 aoû 2008 Aucun commentaire