Beaucoup de monde en cette après midi et
pas seulement des bateaux. Il y avait des cyclistes et des promeneurs. Pour le bas petite jupe courte et légère que le vent avait peu de mal à soulever, histoire de rafraichir une
raie et une fente sans barrière textile vers le monde de l’exhibe. Pour le haut petit corsage qui ne dissimule ni ses seins et encore moins les bijoux qu’elle porte au tétons. En
parlant de corsage, est-il sage de montrer ainsi son corps ?Si vous êtes observateur, vous aurez
remarqué qu’entre les deux photos, celui-ci semble avoir perdu quelques paillettes, histoire d’en montrer plus. Je ne sais si j’étais troublé par les charmes de Maéva, mais le
fait est que j’ai raté quelques photos prisent sous sa jupe. En plus celle où elle la relève ne sont pas terrible. Il va falloir que je refasse une séance ce qui ne me déplait pas
du tout. En attendant j’ai mis celles que j’avais.J’ai pu constater les regards qui se détournaient lorsque nous rencontrions des promeneurs mâles
(même accompagnés) ou des cyclistes. Ils étaient comme attirés par des aimants en direction de la poitrine de Maéva. Il faut dire et ce, je l’ai constaté moi-même, que lorsqu’on
la croise dans cette tenue, à partir d’une certaine distance, je dirai à 30 mètres d’elle, on distingue très nettement qu’elle ne porte rien. Le galbe de ses seins est très
visible et notre regard se colle à cette image pour en deviner le maximum. Et là, attention à la trique dans le short.
