Maéva petite salope s'exhibe par voyeur34

Un instant de pur bonheur auprès de mon Ange

   

Voici le récit d’un souvenir lointain, mais très présent dans ma pensée et surtout non déformé par le temps. Cela remonte à une vingtaine d’années. A cette époque Maéva avait une jupe longue  portefeuille de couleur jaune, en voile de coton léger comme un plume. Outre le fait de voler au vent, la lumière en contre jour lui donnée une transparence proportionnelle à son intensité. Un jour que nous nous promenions à Béziers, j’ai entendu une femme s’exclamer en voyant ce que j’imagine, le cul de ma femme à peine dissimulé par la frêle opacité du tissage. Elle portait cette jupe accompagnée d’un corsage blanc largement déboutonnée, afin que je puisse admirer ses seins libres sous le tissu. A la moindre occasion où elle devait se pencher, j’apercevais ses tétons dressés par le frottement de l’étoffe. L’ensemble lui donnait un air gitane. C’est ainsi vêtu qu’un jour nous sommes allé à un défilé de char. Moi je portais un short en toile sans rien en dessous. Nous attendions depuis un certain temps l’arrivé de la procession, quand je me suis retrouvé placé derrière ma femme. La prenant par la taille pour me blottir contre elle, j’ai tout de suite ressenti la chaleur de ses fesses, qu’elle avait exposées juste avant au soleil sur le sable dorée de la plage. Mon étreinte s’en trouva plus forte, et cette chaleur accompagnée de ses formes m’envahit le bas ventre. Je sentais son cul épouser mes formes, ma queue dans sa raie, et cette chaleur qui se répandant en moi. Elle commença  par remuer de la croupe de droite et de gauche, faisant rouler ma queue bien dure, marquant midi, d’une fesse à l’autre en passant dans son profond sillon. J’étais aux anges. Je dus lui demander d’arrêter, sous peine de me voir éjaculer dans mon short, au milieu de cette foule. Mais je constatais  une belle tache de mouille sur celui-ci que je cachais en mettant ma chemisette par-dessus. La suite est banale. Le vrai souvenir, c’est cet instant au combien intense de deux corps qui se fondent pour ne former qu’un. Je crois que ce jour là j’ai senti cette fusion charnelle de deux êtres. Nous étions tout seul au monde, moi Roméo et toi Juliette. En souvenir j’ai gardé cette jupe qui ne se démode pas et qu’elle porte de temps en temps pour mon plus grand plaisir.

Mer 2 jui 2008 Aucun commentaire