Maeva, petite Salope s'exhibe

Enfin voici les deux premières photos. Une fois l'objet en place, Maéva a commencé à se tortiller, offrant sa croupe à ma vue, avec une raie entrouverte à l'endroit du bijou. Puis elle s'est mise à quatre pattes sur le lit, relevant son cul pour mieux le montrer, tendant ses fesses appétissantes. Ma queue n'a pas résistée à cette offrande. Je me suis activé au fond d'elle et à chaque mouvement de mon bassin, je pouvais voir le Rosebud bouger entre ses fesses. Dieu que cela était excitant ce beau cul tendu, orné  d'une si étincelante parure.  C'est dans un râle roque que je me suis déversé en elle. Quand je lui ai enlevé son bijou, il était bouillant.

Et si je lui demandais de le porter pour aller faire des achats en ville. Humm... plutôt coquin, imaginer Maéva portant ce bijou entre ses fesses dans les allées d'une grande surface. Oh la coquine, j'aime.

Au printemps j’avais demandé à Maéva d’aller faire des courses avec son rosebud mais celle-ci avait refusé de le porter à l’extérieur. J’ai donc laissé passer le temps en me disant que cet été, en insistant un peu, je parviendrai à la convaincre. Le soleil aidant, c’est à cette période de l’année où elle est le plus dénudée ; toujours sans culotte sous ses jupe courte. Je fis donc au mois d’août la proposition à Maéva de glisser dans son petit trou le bijou pour aller au marché faire ses courses. Après une petite moue de sa part, elle accepta. Je plaçais le bijoux avec excitation au le fond de sa raie. Quand elle me demanda ce que je souhaitais la voir porter, je lui indiquais une petite jupe blanche évasée et suffisamment courte pour que le vent la soulève, si peu qu’il y en eut. Chose qui ne se passa pas. Après le marché nous allâmes à l’hypermarché. Après avoir déposé nos courses à la maison, direction la coopérative vinicole de la grappe dorée à Villeneuve lès Béziers faire du ravitaillement. Bref pour sa première sortie parée de son bijou anal, Maéva est restée trois heures ainsi. Pour ses premiers pas dans la rue, sa démarche était comme on dit vulgairement (comme si elle avait un manche dans le cul), mais aussi comme quelqu’un qui avait fait dans son froc. Si je n’avais pas su ce qu’elle portait, c’est ce que j’aurai pensé. Mais après les premiers 100 mètres, elle a repris une démarche normale, peut-être un peu plus lente. Quand je lui ai retiré le rosebud, celui-ci était bouillant.